L’autore del presente contributo coglie lo spunto dalle varie prese di posizione sull’edizione da lui fornita per la collana dei «Classiques Français du Moyen Age», Cercamon, Œuvre poétique, Paris 2009, rispondendo in particolare alla recensione di Valeria Tortoreto, in CN LXX (2010), pp. 187-203, per replicare alle critiche e riesaminare dettagliatamente i problemi ancora aperti. Ne risulta una nuova disamina di alcuni celebri testi dello stesso Cercamon, Marcabru, Bernart de Ventadorn, Bernart Marti, la cui interpretazione è tuttora controversa.
L’auteur de cette étude profite des différentes prises de position à l’égard de son édition pour les «Classiques Français du Moyen Age», Cercamon, Œuvre poétique, Paris 2009 (en particulier, le compte rendu de Valeria Tortoreto, dans CN LXX, 2010, pp. 187-203) pour répondre aux critiques et reconsidérer les problèmes encore ouverts. Il en résulte une nouvelle analyse de quelques-uns des textes les plus célèbres de Cercamon lui-même, Marcabru, Bernart de Ventadorn, Bernart Marti dont l’interprétation est toujours controversée.